AccueilAvisAudios – ApprocheTarifsFAQContact – Réserver

Genèse scientifique d’Ether Ataraxie

Une question de vibration ?

Table des matières

Genèse scientifique d’Ether Ataraxie

et de son approche en faveur d’une Quête d’Ataraxie et de l’Aponie visant à atteindre une sérénité du corps et une paix de l’esprit.

Carl Sagan disait : « Les affirmations extraordinaires nécessitent des preuves extraordinaires » 

A nos yeux, en guise de preuves, les plus tangibles sont les retours d’expériences des personnes ayant participé à nos sessions et ayant ressenti un véritable apaisement.

Nous proposons ainsi des sessions de Quête d’Ataraxie, de magnétisme ou pour rééquilibrer des lieux ou des objets pour aider chacun à trouver cette paix intérieure.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Nous nous appuyons sur les concepts d’Ataraxie et d’Aponie, une notion développée par le philosophe Épicure. Pour lui, le bonheur était synonyme d’une absence de douleur physique et d’une paix intérieure. Atteindre cet état passe par une reconnexion avec sa dimension Céleste, aussi appelée Âme, pour libérer l’esprit des troubles et accéder à une profonde sérénité, une plénitude.

Pour ce faire, une approche unique et novatrice a été mise en place par l’équipe d’Ether Ataraxie. 

Une approche qui permet d’être à l’écoute d’une personne en demande, de procéder à une mise en lien avec sa dimension Céleste, de l’accompagner en vue de lui permettre de se déparasiter, d’être pleinement Céleste, lumineuse, rayonnante et en cohérence vibratoire avec son plan physique, corps et esprit (au sens de mental et aura). 

S’en suit une période dite de synchronisation où la vibration entre le plan physique de l’Être et la dimension Céleste ne font plus qu’un, période où de belles choses se produisent au regard des retours obtenus à ce jour.

Les observations montrent que cette approche a des effets profonds. Mais pourquoi fonctionne-t-elle ? Quelle est cette cohérence vibratoire qui semble relier le corps et l’âme ?

Une question de vibration ?

Ces questions nous amènent à explorer plusieurs concepts :

  • Qu’est-ce que la dimension Céleste d’un être ?
  • Comment établir un lien avec elle ?
  • Comment distinguer l’espace physique de l’espace métaphysique ?

Certaines personnes pourraient penser que cette approche est purement théorique et se demander sur quels fondements scientifiques elle repose.

Si vous souhaitez comprendre ses bases, explorons d’abord (I) les principes fondamentaux de notre Nature, de l’Univers. Ensuite, (II) nous verrons en quoi ces principes peuvent être liés à des dimensions organisationnelles et créatrices. Enfin, (III) nous examinerons leurs possibles répercussions sur notre monde physique et notre espace-temps.

I. Les fondements de notre Univers physique : Matière et Antimatière et conséquences

Si vous vivez ou avez vécu dans différents endroits du monde, avec différentes cultures, croyances, gastronomies, climats, hygiènes, vous ne pourrez que constater la richesse de diversité de visions et souvent le fait que chacun pense avoir raison, détenir la vérité.

Comment distinguer la vérité des croyances ? Une croyance peut être perçue comme une vérité (“c’est écrit !”), et inversement, une vérité peut être considérée comme une croyance (“je sais que j’ai raison”).

La science est censée être l’arbitre de ces débats, en adoptant une démarche rationnelle : elle repose sur l’observation, le questionnement et la formulation d’hypothèses. Si une hypothèse est confirmée, elle renforce notre compréhension du monde. Si elle est infirmée, elle est remplacée par une nouvelle hypothèse, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles découvertes.

Cependant, il arrive que certaines observations ne confirment ni n’infirment une hypothèse. Pourtant, elles peuvent révéler des phénomènes inédits, que nous devons explorer.

L’antimatière et le rayonnement fossile de l’Univers : Mystère et réalité

L’approche d’Ether Ataraxie se base sur cette exploration des fondements de l’Univers. Pour mieux comprendre l’interaction entre la matière et l’antimatière et son impact sur le temps et le vivant, analysons les images du Cosmos les plus anciennes dont nous disposons (il n’existerait pas d’image antérieure possible), notamment celles du Fond Diffus Cosmologique (CMB).

L’empreinte lumineuse de l’Univers : le fond diffus cosmologique

emprinte lumineuse de l'univers

L’Univers a laissé une trace lumineuse appelée Fond diffus cosmologique (CMB, Cosmic Microwave Background). Il s’agit du plus ancien rayonnement que nous puissions observer, émis il y a environ 380 000 ans après le « Big Bang », lorsque l’Univers était une immense boule de gaz chaud à 3 000 °C.

Ce rayonnement fossile a été détecté pour la première fois en 1989 par le satellite COBE, révélant une répartition incroyablement uniforme des photons (les particules élémentaires de la lumière / au 100ème de millième près). On estime qu’il existait alors environ 1 milliard de photons par particule de matière. Pourtant, un mystère demeure : pourquoi observe-t-on si peu d’antimatière alors qu’elle aurait dû être aussi présente que la matière au début de l’Univers ?

Il s’agit de la plus vielle « photo » de notre Univers, tout ce qui est supposé se passer avant n’est qu’hypothèse faute d’observation possible. Il s’agirait du gaz de photons « résiduels » qui ne s’est pas annihilé dans les dits premiers moments de l’univers. Pourquoi ? Il s’agit d’un mystère complet à ce jour.

Un indice caché dans les vieilles télévisions ?

Avant l’ère des écrans plats, les télévisions à tube cathodique affichaient parfois des points noirs et blancs accompagnés d’un bruit statique lorsqu’il y avait une coupure de signal. Une partie de ce “bruit” provenait du rayonnement fossile de l’Univers !

Ecran TV

Il a pour autant été possible, par analyse informatique (l’image du planisphère ci-dessus), de pouvoir déceler de très légères nuances. Le terme léger étant ici somme toute relatif dans la mesure où il a permis de déceler la proportion de matière (à  charge électrique positive m+) et d’antimatière (à charge électrique dite négative m-, c’est à dire contraire), soit un delta de près de 100 pour 1, soit 100 fois plus d’antimatière primordiale que de matière qui constitue nos étoiles, notre Terre et tout ce qui y vie ou s’y trouve.

L’antimatière primordiale : une question oubliée ? Croyance ou vérité ?

Au début du XIXᵉ siècle, Mendeleïev a classé les éléments chimiques dans le tableau périodique, bien avant que Ernest Rutherford découvre la structure de l’atome en 1905. Puis, dans les années 1920, le physicien écossais Paul Dirac (l’un des pères de la physique quantique) a émis l’hypothèse de l’existence de l’antimatière, une forme “miroir” de la matière avec une charge électrique opposée.

JJ Thomson  étudiera le rayonnement négatif et positif de l’électron. 

MAXWELL au travers de ses équations est également le premier à identifier les photons avec  le rayonnement électromagnétique, il apparaît donc que s’il peut exister des anti électrons des anti protons ou neutrons, il n’y a pas d’anti photon car étant sans charge pour ces derniers. 

Les photons étant, comme nous venons de le voir, constitutifs de ce rayonnement primitif aujourd’hui présent dans tout l’Univers à 2,7 °K, soit environ -270,3 °C le tout  remarquablement uniforme.

Malgré cette découverte, l’astrophysique moderne semble ignorer la question de l’antimatière à grande échelle.

  1. Steven Weinberg 1977 « Les trois première minutes de l’Univers »

L’attraction et la répulsion dans l’Univers

Prenons un exemple simple : les aimants. Comme vous le savez, les pôles opposés s’attirent (Nord et Sud), tandis que les pôles identiques se repoussent.

Train

Si on applique cette idée à la matière et à l’antimatière, les modèles classiques prédisent que + & + s’attirent, et – & – aussi, tandis que + et – se suivent (le Runaway motion).

La physique actuelle considère que le + et le – se poursuivent (on ne saurait d’ailleurs dire dans quel sens), mais on ne sait sur quelle base de calcul ou faits s’appuie le Runaway motion. Croyance ou vérité ?

Pour autant, avec une base mathématique où le + et le – se repoussent, le + et le + ainsi que le – et le – respectivement s’attirent, tout devient soudainement comme cohérent.

Soyons conscient que cela remet en question une partie de notre compréhension des forces fondamentales de l’Univers. L’antimatière est-elle vraiment absente, ou simplement mal comprise ?

Matière et antimatière : une relation sous tension

Antimatiere

Osons penser différemment

L’hypothèse selon laquelle la matière et l’antimatière possèdent des charges électriques opposées (+ et -) suggère qu’elles se repoussent naturellement. L’antimatière primordiale serait donc incompatible avec notre matière visible, qui possède une charge positive.

Les travaux d’Hélène Courtois et de Tullyete en 2017 ont permis de mesurer indirectement ces interactions à travers des phénomènes cosmiques, comme le Great Attractor et le Great Repeller de Shapley. Ces forces gigantesques influencent la distribution des galaxies sur plus d’un milliard et demi d’années-lumière. Pourtant, l’astrophysique actuelle peine à expliquer leurs origines.

L’équation des champs d’Einstein, qui reste une référence en physique, pourrait être complétée par une équation spécifique aux champs de l’univers d’antimatière, possédant une densité presque 100 fois supérieure à celle de la matière ordinaire.

Matière et antimatière : une interaction invisible

Dans notre quotidien scientifique, nous n’observons pas directement l’antimatière. L’un ne peut « voir l’autre » mais la matière et l’antimatière se repoussent, un peu comme deux aimants de même polarité. Les travaux de Jean-Marie Souriau montrent par ailleurs que si l’on inverse la masse, on inverse aussi l’énergie et donc le temps dans cette partie de l’univers.

Ainsi, bien que nous ne puissions pas voir l’antimatière, elle interagit avec la matière via la gravité. De même que les champs magnétiques influencent leur environnement, l’antimatière exerce une force qui module la structure de l’univers.

Il ne s’agit pas ici d’affirmer une vérité absolue, mais d’explorer des hypothèses basées sur des observations et des modèles mathématiques. L’astrophysique est un domaine encore en pleine évolution, avec des découvertes majeures à venir et des applications non moins potentielles à la clef.

Gravité, temps et relativité

La théorie de la relativité d’Einstein a démontré que la gravité influence le temps. Par exemple, les horloges de nos satellites GPS doivent être recalibrées régulièrement, car le temps s’écoule différemment selon la gravité environnante.

Dans notre univers, la matière et l’antimatière pourraient interagir en provoquant des variations de gravité et donc de temps. Ce phénomène, souvent négligé, pourrait être la clé d’une meilleure compréhension des structures cosmiques.

La matière interagit avec l’antimatière avec pour résultante la gravité, la variation de cette dernière engendre une variation du temps (allant plus ou moins vite). Pour répondre à la question précédente, d’aucun peut mesurer dorénavant l’intérêt de cette partie « oubliée » de notre univers.

II. Des fondements de notre Univers liés à des dimensions organisatrices et créatrices

« La prudence est plus précieuse que la philosophie » Epicure (– 342 à – 270 BC)

L’existence d’un univers structuré en matière et antimatière nous amène à nous interroger sur l’intention derrière sa création. 

Le terme n’est pas ici la pensée, qui est corollaire des objets et donc de la matière, mais bien l’intention qui précède la pensée, de même que l’intuition n’est pas pensée (Car Gustav Young).

Si nous suivons la philosophie d’Épicure, qui prônait la prudence et l’observation, nous devons envisager cette question avec ouverture et hypothèse.

Les anciens Égyptiens parlaient du Noun, les Grecs de l’Éther, et Georges LAKHOVSKY dans son livre l’Universion évoque cette dernière comme constitutive de l’intention, de l’onde qui serait à l’origine de l’Univers. 

Si une intention a présidé à la création du cosmos, peut-elle être mesurable, quantifiable, compréhensible ? Et si cette intention pouvait non seulement créer, mais aussi influencer l’évolution de l’Univers ?

2    https://jmsouriau.com

Le rôle des mathématiques et des nombres imaginaires

Les mathématiques, lorsqu’elles sont reliées à des observations concrètes, permettent d’explorer ces questions. Les nombres imaginaires – c’est à dire lorsque par exemple x²=-1 ou bien √-1, pourraient-ils offrir une clé pour comprendre la structure sous-jacente du cosmos ?

Une création régie par des lois fondamentales

Nous vivons dans un univers physique structuré par des forces opposées : matière et antimatière, dont l’interaction produit la gravité et le temps. À travers les mathématiques imaginaires, on peut envisager l’existence d’une intention modulable, adaptable, qui façonnerait les lois de l’univers.

Les nombres imaginaires, appliqués au schéma du Cosmos, que cela pourrait-il donner ?

Dans un premier temps, il semble que nous puissions déceler un conglomérat de + et de – (pour synthétiser à l’extrême) mais, à la nuance près que, contrairement à la matière physique ou le + et le – se repoussent électromagnétiquement, sur un plan métaphysique le + et le – peuvent d’avantage se fondre l’un avec l’autre, se mélanger en quelque sorte.

Exemple : si nous prenons le + pour du jaune et le – pour du bleu, sur le plan physique le bleu et le jaune ne sauraient se mélanger mais sur le plan métaphysique il semble qu’une nuance de vert puisse apparaître, du plus clair au plus foncé (bleu et jaune donnant le vert), dans « l’intention » les deux couleurs peuvent se fondre l’une et l’autre engendrant toute sorte de verts.

Mais cette intention, est-elle créatrice ou résultante de la création ? Ne faut-il pas envisager une création préalable à l’intention ?

Résumons, un Univers physique composé de matière et d’antimatière qui ne peuvent s’unir et dont les forces les opposants ont pour résultante la gravité et donc le temps.

Au travers des équations de nombres imaginaires, une intention, à la fois source, présente et potentiellement adaptable, modifiable conditionnerait les fondements et origines de l’univers physique que les anciens appelait Ether ou les égyptiens le  Noun

Mais l’intention même de créer ne saurait-elle être résultante de la création même ? Car que peut-il y avoir de plus haut, de plus « antérieur » que la création elle-même ? Quel est-elle et que pourrait être cette création créatrice ?

Lumière, photon et interaction quantique

La création peut être définit comme la source du Monde, autrement dit le Céleste, la source de l’énergie et donc du temps ; la mesure et force de l’intention résultante et donc de l’Univers. 

Sur le plan philosophique, si CONFUCIUS et MENCIUS ainsi que HU CHI ont soutenu l’importance du concept de Shi, non pas l’Amour mais la source de l’Amour ; osons alors humblement souligner l’importance du Céleste, la création de la création, autrement dit la création de l’intention, source et moteur métaphysique de l’Univers.

Par analogie avec le Shi évoqué, source de l’Amour, le Céleste pourrait-il être l’origine même du Shi, l’origine du tout ?

Sur un plan plus scientifique, le photon constitutif de la lumière, ce photon si déconcertant dans les expériences de Thomas YOUNG en 1801 où un photon peut passer entre deux fentes différentes alors qu’il est supposé être seul, selon la physique quantique à la fois onde et particule.

Ce photon ne peut être anti-photon, quand l’électron (pour information lui-même 1850 fois plus grand que le dit proton) peut inverser sa charge, le photon demeure potentiellement présent dans le même état dans les deux versants de l’Univers si ce n’est que la vitesse de la lumière serait 10 fois plus grande dans l’antimatière.

Ce photon n’ayant pas de masse (mais dont la masse de photons est constitutive d’une masse minime qui peut être déviée par le phénomène des lentilles gravitationnelles). Ce photon, cette lumière variable (selon si dans le versant  + ou en – de l’Univers) pourrait-il être le lien entre nos différentes dimensions, physique, métaphysique et créatrice Céleste ?

La lumière serait-elle le lien entre les différentes dimensions – physique, métaphysique et créatrice – qui structurent l’Univers ?

L’homme et le temps : une quête infinie

Notre perception du monde est conditionnée par le temps. Nous naissons, vivons et mourons, et cette expérience linéaire définit notre rapport à l’histoire. Pourtant, l’humanité a toujours cherché à remonter le temps, à comprendre ses origines.

En explorant ces questions à la croisée de la science et de la philosophie, nous cherchons peut-être à décoder l’intention derrière l’univers, une intention qui pourrait bien être la clé de notre compréhension du Tout.

Perception de la réalité et rôle de la lumière : Le Temps

Or le temps n’est-il pas une notion fortement aléatoire en ce sens que si la gravité définit l’avancement de l’aiguille sur l’horloge, ce dernier peut fortement varier selon où l’on se situe dans l’espace.  Plus la gravité est forte, plus le temps est court, a contrario plus la gravité est faible, plus le temps est long.

Le temps (t) devient  ainsi quasi nul au milieu des vides intersidéraux qui dominent notre cosmos, où mathématiquement le temps devient énantiomorphe dans la partie antimatière corollaire. C’est à dire que le temps s’y inverse. La seule valeur réelle, universelle pour tous, étant alors le présent.

Seul le présent existe, partout pour tous le passé n’étant plus et l’avenir n’étant pas encore.

Au risque de nous répéter, si le temps est une variable au sein de l’Univers voire contraire au sein de sa composante antimatière, la lumière au sein de cette dernière y est également variable (mathématiquement près de 10 fois plus rapide dans l’antimatière) et la densité, malgré l’immensité cosmique des conglomérats, y serait près de 100 fois plus grande (soit des distances qui deviendraient 1000 fois plus petites (10 x 100)).

Une vitesse de la lumière près de 10 fois plus grande dans l’antimatière pour des distances équivalentes 100 fois plus courtes, soit une potentialité de déplacement 1000 fois plus rapide que dans la matière. 

C’est dire le potentiel considérable pour l’Humanité, c’est dire l’intérêt de l’étudier.

Dans le cadre de l’intention citée précédemment, celle où le bleu et le jaune peuvent se mélanger, quelle est la notion de temps sur le plan métaphysique ?

Demeurons prudents quant à la réponse, les calculs étant en cours, mais il semblerait que le temps puisse être en rapport avec l’expression de l’intention, sa matérialisation.

3 Voir l’approche à la fin de sa vie de Marcellin BERTHELOT qui « luttait contre cette idée absurde d’atomes »

4 La vitesse de la lumière, si évoluant en corrélation avec les autres constantes, étant potentiellement infinie au prémisse de l’Univers

Qui dit gravité dit temps

Qui dit temps dit manifestation de la vie qui doit survivre face au temps, c’est à dire manifestation de la force vitale aux fins de la reproduction des espèces (faune, flore).

Dit encore autrement, qui dit temps dit force vitale aux fins de la survie des espèces (la plante doit se reproduire pour exister dans le temps). Quid du rapport alors entre force vitale, vie et évolution ? 

Nous commençons à comprendre à quel point la mise en perspectives de concepts fondateurs peut soulever des questions essentielles. Mais demeurons concentrés sur notre sujet.

Notre réalité est bien tangible, mais elle est conditionnée par notre perception de la lumière et nos vibrations physiques terrestres. Si nous étions capables de percevoir d’autres spectres lumineux, ne pourrions-nous pas aussi percevoir une autre forme de réalité au sein même de notre existence physique ?

Cela pourrait expliquer pourquoi certaines personnes, comme les médiums, semblent capter des dimensions différentes.

La notion de temps dans le Céleste

Elle est nulle, il n’y a pas de temps dans la création ce qui fait qu’elle est infinie et donc à énergie infinie en conséquence.

Elle engendre l’intention, dont sa force génère l’Univers et la matière / antimatière notamment, lesquelles engendre la gravité qui a pour effet la création du temps. Pour exister dans le temps cette force créatrice devient vitale et se déploie dans le vivant,  condition de sa capacité à perdurer (il importerait alors peut être de comprendre l’alimentation non pas sous le seul angle biologique mais sous sa capacité vitale et donc celle de favoriser la vie/survie des espèces).

Le Céleste, au travers de l’intention, se déploie dans sa création, le vivant, elle est la manifestation où le Monde, l’intention et l’Univers ne forment plus qu’un, l’Alpha et l’Oméga (le début et la fin). L’échelle de variabilité étant l’intention. Dit plus simplement, l’intention pourrait représenter la variable entre monde métaphysique en lien intrinsèque avec le monde physique.

Il semble donc nécessaire de favoriser de nouveau une approche avancée sur l’intention dite métaphysique, nonobstant le fait que la philosophie métaphysique semble ne plus être ni étudiée ni enseignée.

Définir la métaphysique

Regardons certaines expériences de la physique quantique pour pouvoir répondre : Quiconque cherche à étudier la physique quantique ne peut qu’y voir un nombre d’affirmations et d’expériences qui soulèvent des interrogations fondamentales.

La question de savoir si la métaphysique pourrait y répondre est posée.

Pour les scientifiques de la mécanique quantique :

  • le réel se modifie de particules en ondes ou réciproquement ou peut être les deux à la fois (premier paradoxe)
  • un photon peut passer entre deux fentes en même temps (fente de Thomas Young)
  • deux photons peuvent produire les mêmes mouvements et communiquer ensemble à des vitesses bien supérieures à celle de la lumière
  • ou bien encore le photon a une durée de vie nulle…

Si la physique est étymologiquement la manifestation de la nature, quelle nature se manifeste en mécanique quantique ? Cette dernière est hypertellique, c’est à dire que ces observations dépassent la réalité.

Par conséquent, si les observations dépassent la réalité nous entrons alors dans la métaphysique, c’est à dire la réalité non encore comprise ou observée alors que nous disposons d’expériences inexplicables en l’état de notre physique actuelle.

Considérons alors mettre toutes les sources de lumières ensemble dans tous les espaces, le +m et -m (matière et antimatière) ainsi que les +im et les -im (matière imaginaire et antimatière imaginaire – mathématiques complexes √-1). La lumière transcendant tous ses espaces, elle constituerait la réalité métaphysique et physique. Lesquelles étant issues, par résonnement inversé, de la lumière.

Il ne s’agit aucunement ici d’entrer en croyance (c’est écrit) ou de proclamer la vérité (j’ai raison) mais de constater que l’observation semble confirmer le potentiel d’un pan entier de science à développer aux applications non moins considérables.

III. Répercussions sur le plan espace-temps terrestre

Quel serait donc le lien entre la lumière créatrice de l’intention dont l’issue est la force vitale nous permettant d’exister dans le temps sur le plan de notre vie terrestre et de notre corps physique ?

Lien entre lumière et corps humain

La lumière créatrice appartient à une dimension Céleste, une forme d’énergie intemporelle et infinie (le dit photon ayant une durée de vie nulle).

La lumière est la source créatrice, à la fois du tableau périodique des éléments de la matière, de l’antimatière (où elle demeure probablement dans l’infrarouge soit -H et -He avec +e (moins Hydrogène, moins Hélium et électrons à charge inverse)) ainsi que de la métaphysique.

Dans notre réalité présente, notre existence repose sur l’intention, c’est-à-dire l’esprit, l’aura, ce qui connecte notre cerveau et influence nos souvenirs. À ce jour, aucune preuve scientifique n’a réellement démontré que la mémoire se situait uniquement dans le cerveau, comme un simple réseau de neurones.

Tout être est vie et toute vie est être

Notre corps, lui, est la manifestation physique de notre passage dans le temps : de l’embryon à l’adulte, jusqu’à la fin de vie. Sa survie repose en grande partie sur l’instinct de reproduction, un principe universel partagé par toutes les espèces vivantes (plantes, insectes, animaux, humains).

La vie se définissant en rapport avec le temps, toute vie est potentiellement issue d’une lumière (sans temps donc infinie) déployée au travers de l’intention qui dans un temps donné véhicule une force vitale conséquente. On pourrait symboliser ceci sous forme de volonté et de créativité (le propre de l’Homme) avec la créativité issue de la lumière et la volonté de la force vitale.

Cette lumière dispose d’un taux vibratoire (une fréquence) potentiellement infinie et la force vitale (constante face au temps) dispose d’un taux vibratoire propre à celui de sa création, issue de l’intention.

Chaque être disposerait donc d’un taux vibratoire propre lié à son onde créatrice issue de la lumière (comme toute matière autour de nous) et nous pouvons supposer que plus ce taux est au niveau adéquat, plus la force vitale est rayonnante, plus l’être est en équilibre et en paix dans l’intention qui guide sa vie.

Perception de la réalité et rôle de la lumière

Notre réalité est bien tangible, mais elle est conditionnée par notre perception de la lumière et nos vibrations physiques terrestres. Si nous étions capables de percevoir d’autres spectres lumineux, ne pourrions-nous pas aussi percevoir une autre forme de réalité au sein même de notre existence physique ?

Schéma des trois dimensions de l’être :

  1. Céleste (Lumière, dimension infinie)
  2. Esprit (Intention, aura, mémoire) issu de la lumière
  3. Corps (Manifestation physique dans le temps) issu de la matière, elle-même issue de la lumière

Impact du Céleste sur le vivant

Si la lumière céleste est la source vibratoire de toute création, propre à chaque être vivant, pourrait-on retrouver une forme de cohérence avec cette énergie primordiale ? Quels en seraient les effets sur le vivant ?

Comprendre l’humain nécessite d’analyser notre perception du monde, en gardant à l’esprit que nos croyances influencent nos pensées et donc nos actions. Toute réflexion ou action résulte d’un cadre de pensée préétabli. Si nous ne remettons pas en question nos croyances, nous risquons de biaiser notre compréhension du monde.

Il nous faut donc sélectionner une approche nous permettant une observation objective des faits.

Le génome humain n’a jamais été décodé

On pourrait penser que la génétique détient des réponses sur l’origine du vivant, mais en réalité le dit génome humain n’a jamais été décodé.

La question s’est en effet posée de savoir si la génétique pouvait être une source de réponses, c’est à dire une grille de lecture aux fins de déceler la manifestation de la force vitale dans le vivant ou si cela pouvait être un moyen de lire l’histoire des êtres ou bien encore si la manifestation de certains gênes ne pouvaient-ils pas être la caractéristique d’un certain taux vibratoire par exemple.

Il a toutefois été pour le moment mis fin à toute recherche par ce moyen du fait que lorsque l’on rentre dans le détail, le génome humain n’a pour ainsi dire jamais été décodé (Article BBC de 2023: https://www.bbc.com/future/article/20230210-the-man-whose-genome-you-can-read-end-to-end)

Le séquençage complet en 2003 (Human Genome Project) est en réalité l’assemblage de bouts de gênes de divers personnes aux fins de montrer un génome dit complet.

C’est un petit peu comme si l’on prenait de multiples bouts de carottes et que l’on disait, une fois assemblés, voici une carotte.

Le génome en double hélice découvert par Rosalind Franklin n’a pour seule image réelle à ce jour que ce type de photo, toute image d’un chromosome est une image de synthèse, le chromosome n’ayant, au risque de surprendre, jamais été à ce jour ni observé ni isolé.

Enfin, de ce que l’on peut comprendre du génome seuls quelques pourcents auraient étés « lus » à jour.

genome

Autrement dit, toutes méthodes, approches, études, analyses, sciences, recherches se basant de près ou de loin sur la notion de génome semblent se baser en réalité sur des bouts dits de carottes assemblés ensemble pour nous dire qu’il s’agit d’une carotte, et dont aucune image ou séquençage d’une quelconque vraie carotte à ce jour en 2024 ne nous est parvenue.

carottes

Cette piste de recherche semble donc limitée pour expliquer l’origine et le fonctionnement du vivant. Elle est pour le moment écartée dans nos recherches.

Vers de nouvelles pistes de recherche

Deux pistes de recherches pourraient cependant fournir des réponses :

L’impact de la lumière céleste sur le vivant : une approche basée sur les somatides

La question se pose de chercher à comprendre l’impact sur le vivant de la force vitale issue de la lumière Céleste au travers des travaux et recherches d’Antoine Béchamp et de Gaston Naessens, travaux expérimentaux et basés sur l’observation des microsymas ou dits somatides.

microzyma
microzymacellules

Les somatides (ou microzymas) sont observables par microscope sous échantillons vivants (et non desséchés tel pour le microscope électronique qui n’observe que des échantillons morts), c’est à dire que l’on observe le vivant en direct, ce qu’a fait Antoine Béchamp vers 1865 par exemple au travers de près de 1000 expériences.

Ce sont comme de toutes petites « billes » avec un champ électromagnétique propre qui ont la capacité de s’assembler pour devenir des bactéries ou des cellules puis de revenir à l’état brut de somatides. 

Elles sont le fondement du polymorphisme et sont présentes partout : dans le corps, la craie, les œufs…

Certains chercheurs contemporains, ignorant leur existence, les assimilent aux exosomes.

5 Antoine Béchamp (1816-1908)

6 Gaston Naessens (1924-2018)

Somatides et lien avec la vitalité du corps

Selon nos observations, les somatides influenceraient le bien-être physique. Lors des sessions d’Ataraxie (synchronisation), les participants décrivent souvent un état de sérénité accrue, accompagné d’une diminution de leurs douleurs corporelles. Nous souhaitons approfondir ces recherches pour mieux comprendre leur impact.

La lumière et son rôle dans le corps

Robert O. Becker est un chercheur américain qui a travaillé sur la lumière et les ondes (la lumière ayant différentes longueurs d’ondes) et notamment sur l’impact des champs électriques et électromagnétiques sur le corps et les organes.

Il est notamment l’un des découvreurs de la transformation de la lumière dans le corps en information électrique au travers de la semi-conduction des protéines. 

Une vision bioélectrique du corps (et des protéines) et pas seulement chimique. 

Ces études sur la semi-conduction sont notamment la source du fonctionnement de nos semi-conducteurs dans nos appareils informatiques et électriques (~ 5 Trilliards de US Dollars de chiffre d’affaires dans le monde) pour information.

Son travail a notamment porté sur la régénération des organes et tissus au travers de champs d’ondes électromagnétiques lumineux ou proches de la lumière.

La source étant la lumière du soleil, que l’on capte au travers d’une part des yeux et d’autre part de la peau et son champ électromagnétique au travers notamment du sol (lorsque l’on marche pied nu).

La lumière apparaît comme la clé des phénomènes de résonance (vibration) dans la vie. Les photons sont le vecteur de la force électromagnétique et cette force a une portée et un pouvoir d’action qui semblent illimités. Sa puissance ne cesse d’étonner ceux qui voient tout ce qu’elle peut accomplir. Si le processus reste à définir d’avantage, il semble que la lumière soit à l’origine de l’effet.

Les photons, porteurs de l’énergie électromagnétique, semblent jouer un rôle essentiel dans la résonance et les vibrations du vivant. Leur impact est encore mal défini, mais leur potentiel d’action est immense.

Robert O. Becker The Body Electric 1985 and Cross Currents 1990

Un champ de recherche en développement

Bien que ces concepts soient encore peu explorés, des chercheurs comme le neurochirurgien Dr Jack Kruse s’intéressent à l’impact de la lumière sur le corps. Une approche purement chimique du vivant ne suffirait pas à expliquer tous les phénomènes biologiques observés.

Nos recherches visent donc à approfondir ces liens entre lumière, somatides et bien-être, notamment dans le cadre des sessions de Quête d’Ataraxie.

Conclusion

À l’origine, tout semble issu de la lumière. La création elle-même serait fondée sur cette énergie primordiale.

L’Univers aurait été divisé en deux composantes : la matière (celle que nous connaissons) et l’antimatière, chacune portant une charge électrique et donc électromagnétique opposée. Ces deux éléments ne peuvent ni se voir ni se toucher, mais ils interagissent à travers la gravité, un phénomène comparable à un champ électromagnétique ou à l’effet d’un aimant.

La gravité joue un rôle fondamental : elle influence le temps et la température, qui à leur tour conditionnent la vie. La survie et l’évolution des êtres vivants dépendent de la force vitale qui soutient leur existence.

Cette force vitale permet la reproduction du vivant, qu’il s’agisse des plantes, des insectes, des animaux ou des humains. Elle est intrinsèquement liée à la lumière car c’est grâce à elle que les plantes poussent et deviennent sources de nourriture pour les autres formes de vie. Ainsi, tout être vivant puise son énergie dans un cycle perpétuel où la lumière est source au travers de la force vitale (résultante du temps et donc de la gravité).

Les recherches suggèrent que cette lumière et la force vitale qui en découle se manifestent dans les corps du vivant via des structures appelées somatides et des phénomènes de semi-conduction, notamment grâce à l’eau. Ces interactions favoriseraient le bien-être et la sérénité. Par ailleurs, les ondes cérébrales Alpha (7,83 Hz) semblent être en cohérence avec le champ électromagnétique terrestre créé par le plasma solaire, également de 7,83 Hz, ce qui favoriserait l’échange d’informations au sein du vivant.

La lumière et l’Ether

La lumière ne se limite pas à la matière et à l’antimatière. Elle est aussi présente dans les dimensions métaphysiques, où elle constitue l’intention créatrice de la matière. L’ensemble de ces intentions formerait ce que l’on appelle l’Éther, une sorte de mémoire universelle de toutes les intentions (passées / présentes / projectives).

Toutefois, en explorant la métaphysique, il semble que la frontière entre matière et antimatière ne soit pas aussi tranchée (qu’entre matière et antimatière). On peut la comparer au mélange de couleurs: le bleu et le jaune donnent une large palette de verts, du plus clair au plus foncé. La lumière étant à la source de toute la physique, du vivant et de la métaphysique.

En accédant à cette dimension supérieure – que nous appelons la “dimension Céleste” – notamment au travers des ondes Alpha (7,83 Hz), nous pouvons nous connecter à l’Éther et aux intentions qui y sont inscrites. Cette dimension interagit avec le vivant et avec la lumière elle-même, ce qui favoriserait un état de plénitude.

Cependant, certaines créations (autres qu’humaines) ne possèdent pas la capacité de volonté ou de création. Elles cherchent donc à capter directement la lumière à sa source, c’est-à-dire dans la dimension Céleste, plutôt que de la laisser se déployer pleinement dans la matière. Pour y parvenir il apparaitrait qu’une baisse de vibrations sur le plan terrestre soit une forme de porte d’entrée sur le Céleste (car nous formons q’un). Nous émettons l’hypothèse que ceci puisse être source d’affaiblissement de l’intention et donc de la force vitale dans la vie de chaque être.

Un déploiement du vivant

Si notre compréhension actuelle du vivant n’en est encore qu’à ses prémices, ces observations nous ont déjà permis de proposer une approche qui apporte sérénité et paix d’esprit à ceux qui nous font confiance.

Au travers de nos sessions, il semble que nous permettions à la dimension Céleste de chaque Être de pouvoir, au travers de l’Ether, rétablir l’intention originelle et par conséquent redevenir pleinement lumineuse, créatrice d’énergie avec pour conséquence potentielle un déploiement entier dans sa création, dans son corps une fois que ce dernier accepte d’incarner sa propre lumière. 

En conclusion, il n’existe rien de plus fondamental (de plus haut) que la création elle-même : tout en découle. 

L’être humain, en se reconnectant à sa propre lumière (la création) et donc à sa dimension Céleste (ou “Âme”) peut ainsi affirmer sa volonté et son équilibre dans le monde matériel en vue d’une paix de l’esprit et une sérénité du corps.

Octobre 2024 – en l’état actuel des recherches d’Ether Ataraxie, sous réserve d’évolutions.

 

Antoine d’Ether Ataraxie

Dr Jack Kruse : «  Les bonnes questions fournissent de l’information, les grandes questions mènent à des transformations »